samedi 21 septembre 2013

Communication et réalité


"De quoi on ne peut parler, sur quoi il faut se taire." (Ludwig Josef Johann Wittgenstein)
(Avec une étude du livre, de "La réalite de la réalite ; confusion, désinformation, communication") (11)

"La communication est une condition sine qua non de la vie humaine et de l'ordre social" (Variante : "on ne peut pas ne pas communiquer") (14)
 "Il n'existe pas de réalité absolue, mais seulement des conceptions subjectives et souvent contradictoires de la réalité." (3) (1)

 "De toutes les illusions, la plus périlleuse consiste à penser qu'il n'existe qu'une seule réalité... "

« Ceci n’est pas une pipe. » (1929, huile sur toile, 59 X 65 cm, Art Institute of Chicago)

La Trahison des images est un des tableaux les plus célèbres de René Magritte. Il représente une pipe, accompagnée de la légende suivante  : « Ceci n’est pas une pipe. » L'intention la plus évidente de Magritte est de montrer que, même peint de la manière la plus réaliste qui soit, un tableau qui représente une pipe n’est pas une pipe. Elle ne reste qu’une image de pipe qu'on ne peut ni bourrer, ni fumer, comme on le ferait avec une vraie pipe. (15) (Magritte, avait dans deux tableaux prévenu que la pipe et la pomme qu’il avait peintes, n’étaient ni une pipe ni une pomme, mais seulement «la représentation de l’une et de l’autre».)

 « La survie des êtres vivants dépend de l'information convenable ou non qu'ils reçoivent sur leur environnement » (11)

"On enseigne encore aux élèves qu’une information est « un fait », voire « un fait avéré » » et non « la représentation d’un fait », ou encore qu’il existe (sans rire) « un discours informatif » qui n’influencerait pas le récepteur ! "Il semble qu’une génération ne suffise pas pour venir à bout des erreurs qu’un savoir scolastique... dispensent aux potaches." (4)

(Magritte, avait dans deux tableaux prévenu que la pipe et la pomme qu’il avait peintes, n’étaient ni une pipe ni une pomme, mais seulement « la représentation de l’une et de l’autre ».)


"De la réalité chacun se fait son idée. Dans les discours scientifique et politique, au quotidien, nous renvoyons en dernière instance au réfèrent suprême : le réel. Mais où est donc ce réel ? Et surtout, existe-t-il réellement ? De toutes les illusions, la plus périlleuse consiste à penser qu'il n'existe qu'une seule réalité. En fait, ce qui existe, ce sont différentes versions de la réalité, dont certaines peuvent être contradictoires, et qui sont toutes l'effet de la communication et non le reflet de vérités objectives et -éternelles-." La réalité n'est donc, selon Paul Watzlawick, que la résultante des compromis, détours, et aveuglements réciproques, à travers quoi passe l'information : la somme des confusions, désinformations et communications qui surgissent entre êtres parlants, et dont l'auteur donne un vaste éventail d'illustrations : situations tirées d'oeuvres littéraires, mots d'esprit, vie politique internationale, traductions, psychologie des masses, psychothérapie, espionnage, communications avec les animaux, communication (éventuelle celle-ci) avec des extra-terrestres..." (5) (12)

 "La croyance selon laquelle il n'y aurait qu'une seule réalité, soit la façon dont on la voit soi-même, est une illusion dangereuse. Elle devient encore plus dangereuse lorsqu'elle est doublée d'une volonté d'éclairer le reste du monde."
 "Refuser d'embrasser inconditionnellement une seule définition de la réalité, oser jeter sur le monde un regard différent... Peut devenir un délit d'opinion. (au sens d'Orwell, 1984)" (p.8)

Incertitudes, interprétations et confusions.

"la survie des êtres vivant dépend de l'information convenable ou non qu'ils reçoivent sur leur environnement. ...L'échange de tous ces messages forme ce que nous appelons la communication. Quand l'un de ces messages est altéré, il laisse le destinataire dans un état d'incertitude, il en résulte une confusion qui provoque des émotions allant, selon les circonstances, du simple désarroi jusqu'à l'angoisse prononcée. ...Il est donc particulièrement important de favoriser la compréhension et de réduire la confusion." (p. 13)

 "...Une personne qui a été exposéé de façon répétée à ce type de confusion trouvera très difficlle d'adopter une attitude appropriée dans beaucoup de situations de la vie et pourra passer un temps démesuré à essayer de trouver comment il -doit- voir la réalité." (p. 27)

"Le pouvoir peut engendrer ses propres paradoxes et doubles contraintes." (7) (http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Escher_Cube.png)

 "Le pouvoir tend à corrompre, et le pouvoir absolu corrompt absolument." (Lord Acton)

 Il est aisé de voir les effets malfaisants du pouvoir, beaucoup plus difficile est de reconnaître les conséquences paradoxales engendrées par la négation de l'existence du pouvoir.
"Le monde de la guerre, comme tout le monde qui utilise la violence totalitaire, est en lui-même déséquilibré, et la raison y devient une manifestation de folie ou de malfaisance. ...Les valeurs humaines et les lois de la communication sont mises la tête en bas et l'obscurité du malentendu enveloppe autant les victimes que les bourreaux." (p. 34)

"En créant une confusion au moyen d'affirmations vagues, ambiguës et intrigantes, on incitait (le -sujet- hypnotique) à investir la première information concrète et compréhensible..." (La psychothérapie est fondamentalement l'art de transformer la vision qu'une personne a de la réalité.) (p. 36)

La confusion, "mise en des mains dépourvus de scrupules, peut servir à des fins extrêmement négatives. Inversement, elle peut aiguiser nos sens et notre attention aux détails". ...Comme un "certain degré d'inattention -consciente- nous rend plus réceptifs aux innombrables indices minimaux non verbaux inhérents à toutes les situations interactionnelles." (Humains ou animaux.) (Le cas de Hans le malin, p. 37) (voir aussi l'éthologie) (8)

 "Nous autres humains émettons constamment des signaux dont nous ne sommes pas conscients et que nous ne maîtrisons pas." (p.41)
"Dans les situations où nos capacités habituelles de perception de d'intelligence ne suffisent plus à founir les réponses, nous avons recours à certaines autres capacités... Et inconsciemment responsables d'influences dont notre conscience ignore tout..." (p. 44)



 La communication non-verbale et P. E. S. (Perception extrasensorielle) (9) et (10)

 "La communication non verbale désigne tout mode de communication n'ayant aucun recours à la parole, c'est-à-dire utilisé sans le recours au langage, aux mots. (10) "...Fondée sur des réactions spécifiques du corps impliquant non seulement la vue et l'ouie, mais aussi l'odorat et le toucher... Tout ceci pour désigner le fait que "nous sommes bien plus perceptifs et bien plus influencés par nos perceptions que nous le pensons." (Avantages de la confusion, p. 47)
... (Complément à venir...) (21/09/13)

La désinformation,

"C'est la théorie qui décide de ce que nous sommes en mesure d'observer." (A. Einstein)

L'explication "autovalidante" : "Une fois notre esprit emporté par une explication séduisante, une informatin la contredisant, loin d'engendrer une correction, provoquera une -élaboration- de l'explication. ...donc pseudo-scientifiques, superstitieuses, et en fin de compte psychotiques au sens strict." (sic) (p. 58)

«Faites votre malheur vous même.» (sic)
La dangereuse hypothèse autovalidante. (...Démontrée alors qu’elle ne l’est pas.)


Le caractère désespéré du "Dilemne des prisonniers", chaque fois que des personnes sont en état de désinformation, (pour prendre une décision commune sur laquelle elles ne peuvent communiquer) s'ils ne se font pas assez confiance pour choisir les solutions les plus avantageuses pour tous, (deux ou plusieurs) ils se rendent compte que la décision la plus raisonnable et souhaitable serait qu'elle garantisse à tous un confortable -profit-.





  L'oeuf ou la poule?
 
 Vision du monde, conflits et distorsions de la réalité.

"Des visons différentes du même événement... Les gens persistent à ignorer la divergence de leurs points de vue et imaginet naïvement qu'il n'existe qu'une réalité et d'elle qu'une seule vision, (à savoir la leur) avec la conséquence que quiconque voit les choses différemment doit être méchant ou fou." (p. 69)

La langue écrite est ambigüe, surtout si les mots ne sont pas reliés à un contexte suffisament éclairant et les titres ou les mots peuvent être ouverts à plus d'une interprétation.
..."L'esprit humain, en construisant telle ou telle "réalité", peut aller même jusqu'à se passer d'une apparence de fait : une superstition bien ancrée suffit..." (p. 83)
..."Plus les choses sont exagérées, exorbitante, plus les gens y croient." (p. 85)
Les recherches au Mental Research institute de Palo Alto (2) sur "les états de désinformation provoqués expérimentalement éclairent la manière dont les situations affectent des individus dans la vie réelle." (p. 88)
"Dans une position des plus inhabituelles et des moins rassurantes... 38 % des sujets se soumirent à la trompeuse opinion du groupe."
"Le désir ardent et -inébranlable- d'être en accord avec le groupe. La volonté de renoncer à son indépendance, de troquer le témoignage de ses sens contre le sentiment confortable, mais déformant la réalité, d'être en harmonie avec un groupe..." (p. 91) ..."Risquer un rejet ou à sacrifier le témoignage de ses sens."

 La ligne qui sépare le comique de la terreur est extrêment mince en pensant au degré de confiance (aux institutions, industries, banques, politiques, médias, etc.) et notre interdépendance.
 

Des décisions "interdépendantes", subtiles, demandent beaucoup de réflexion, de contrôle, de réelle communication, d'échange et partage d'informations, de recherches, etc. Dans l'intérêt commun, (le bien commun) non pas pour l'individu mais pour l'ensemble. (Le jugement personnel compte dans une relation non-interdépendante.) *

 Mystification, promesses et mensonges.

 On ne peut pas imposer la confiance ni la provoquer délibérément.
La réponse est simple, et comme c'est si fréquent avec les problèmes épineux, il vaut mieux se demander : que ne doit-on pas faire ?

 "Bien des divisions de police (et de sociétés, états, groupes, etc.) disposent aujourd'hui de brigades d'urgence spécialement entraînées pour traiter les affaires d'enlèvement, les tentatives d'extorsion, les détentions d'otages, etc. par l'usage de confusions, de contre-propositions, l'astucieuse invention d'innombrables difficultés et circonstances impossibles à maîtriser... Avec l'emploi délibéré de malentendus et d'ambiguïtés." (p. 118)
 Destinées à rendre la situation "non négociable", (fournissant une unique et seule solution) la confusion et la manipulation des informations (en ne donnant aucun moyen de distinguer le vrai du faux), engendrerai "une réalité où tout est faux, ainsi que son contraire". C'est un vieux truc du travail d'espionnage, d'agent double en particulier (et des trolls sur internet) car portée à la connaissance du plus grand nombre, avec les réelles informations, la possibilité de déjouer les menaces d'un changement irréversible. (NWO, Nucléaire, OGM, etc.)




"Le travail des services de renseignements comporte deux volets (sic) : 

Obtenir des informations sur l'ennemi (espionnage) et empêcher l'ennemi d'obtenir des informations. (contre-espionnage)
"
Il en existe aussi un troisième : fournir à l'ennemi (ou au peuple) de fausses informations."
"Que pense-t-il que je pense qu'il pense...?"
Faire penser à l'autre une chose fausse, de lui fournir une -fausse réalité- et de prendre bien soin qu'il ne s'aperçoive de son erreur que lorsqu'il sera trop tard. On renverse ainsi les règles normales de la communication en faisant de la désinformation le but ultime. (Par exemple : voir l'article sur "Rudy watch et Fourest court", "dans l'univers de la désinformation délibérée", à venir...)

La valeur de la communication dépend de la nature et la direction des intentions.

"Un remarquable défaut humain, qui est susceptible de rendre vaincs de telles précautions", c'est "la tenacité avec laquelle -les sujets- adhèrent aux systèmes de croyances crées par des expériences à récompense arbitraire." ..."Ils répugnent à abandonner la confiance dans les visions de la réalité qu'ils ont laborieusement construites, même lorsqu'aucun lien ne s'avère entre résultats et récompense." (p. 122)

"Il est possible de créer dans l'esprit de -l'ennemi- pratiquement n'importe qu'elle sorte de -réalité-, à condition que la mystification contienne juste assez de vérité, ou au moins de probabilité, pour être plausible." (Par exemple avec les incohérences sur les organisateurs, les responsables, les preuves et le déroulement des attentats de la version officielle des attentats du 11 septembre 2001...) Le but recherché étant ici la mystification et la confusion servant à faire disparaître les dossiers compromettant concernant la crise réelle et les détournements d'argents et d'or, en augmentant le "contrôle sécuritaire", etc. Et la mise en place du projet "Grand Moyen orient".

Contrairement aux services de renseignement occidentaux, le bloc soviétique distingue trois grandes formes de mystification :

La désinformation, la propagande et les opérations d'influence.

"Les opérations d'influence sont des actions souterraines utilisant dans le pays visé, des courants politiques ou sociaux, ou bien (à leur insu) des personnalités en vue, à des desseins spécifiques." (p. 134)


Une réalité inimaginable ?

En psychiatrie, le -degré d'adaptation à la réalité- d'un individu joue un rôle prépondérant comme indicateur de sa normalité.
"Il existe une réalité de deuxième ordre, les gens sains en sont plus conscients que les fous." (°)
Une méthode scientifique, expérimentale, doit être vérifiable et répétable par définition. Les problèmes à résoudre sont de nature fondamentale et la façon dont je traite ici le domaine de la "communication et des manipulations" est par nécessité très sommaire, sans faire états de maints travaux connus et en cours.

"La soudaine confrontation avec des informations d'une dimension insoutenable, à l'un où l'autre de deux effets (sic) :
"Ou bien la -victime- ferme son esprit à la nouvelle réalité," (préferant ignorer des questionnement chaque jour de sa vie, fermant son esprit à toutes contradictions, vivant et se conduisant comme si elle n'existait pas...) "ou bien elle prend congé de la réalité tout entière." Le second choix est l'essence de la folie. (p. 197)

Il existe une autres option, (non abordée dans ce livre), la prise en compte de la réalité. Choisir de ne plus adhérer, cautionner un système de pensée ou/et de fonctionnement en désaccord avec sa conscience, la moralité, l'éthique, l'environnement, le bien commun et l'avenir de l'humanité.

Nous sommes responsable de nos actes, de nos vies et de l'avenir.


"Le futur est modifiable mais inconnu, le passé est connu mais non modifiable." (p. 213)

"Le temps s'écoule dans une seule direction... ...Ce que nous regardons comme devenir."

C'est en rencontrant des grandes épreuves que l'humanité peut, le plus sûrement s'élever jusqu'aux plus grands et hauts sommets, en prévenant les misères et les échecs dont l'homme est assailli, pour trouver les solutions, les vraies solutions qui naissent de la conquête des obstacles et non de leur évitement.

"Maintenant est notre seule expérience direct de la réalité."

"Nous avons vu, comment suppositions, croyances, hypothèses, superstitions, espoirs, etc. peuvent devenir plus réels que la réalité en engendrant ce tissus d'illusions appelé -Maya- dans la philosophie indienne." (...)
"Les moments de paix et de satisfaction intérieures, comme, paradoxalement, les situations de danger, sont favorables." pour nous sortir de l'illusion." (p. 227)

Il est de la plus grande importance de connaître, au plus proche, notre réalité et notre présence dans l'univers.



"Le pessimiste se plaint du vent, l’optimiste espère qu’il va changer, le réaliste ajuste ses voiles" (William Arthur Ward)

"Pour se comprendre lui-même, l'homme a besoin d'être compris par un autre. Pour être compris par un autre, il lui faut comprendre cet autre" (Thomas Hora, "Tao, Zen and Existensial Pstchotherapy" Psychologia, 1959, p. 237)

 « Une idée, pour peu qu'on s'y accroche avec une conviction suffisante, qu'on la caresse et la berce avec soin, finira par produire sa propre réalité.» (...) (13)

Bouddha, "Vous ne devez pas croire d’emblée à ce que je vous dis, ni à ce que les autres vous ont dit. Ne croyez pas parce que tel maître ou tel missionnaire l’a dit. Ne croyez que si vous estimez que c’est conforme à la logique et à la vérité, et utile à vous comme aux autres, dans le présent comme dans le futur". 


Sources :

(1) Paul Watzlawick (1) et la famille Rockefeller. (2)Né le 25 juillet 1921 à Villach (Autriche) et mort le 31 mars 2007 à Palo Alto (Californie) est un théoricien dans la théorie de la communication et le constructivisme radical, membre fondateur de l'École de Palo Alto. Psychologue, psychothérapeute, psychanalyste jungien et sociologue, ses travaux ont porté sur la thérapie familiale et la psychothérapie générale. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Watzlawick)
(2) L'École de Palo Alto est un courant de pensée et de recherche ayant pris le nom de la ville de Palo Alto en Californie, à partir du début des années 1950. On le cite en psychologie et psycho-sociologie ainsi qu’en sciences de l'information et de la communication en rapport avec les concepts de la cybernétique. Ce courant est notamment à l'origine de la thérapie familiale et de la thérapie brève. Parmi ses principaux fondateurs on trouve Gregory Bateson, Donald D. Jackson, John Weakland, Jay Haley, Richard Fisch, William Fry, Paul Watzlawick et la famille Rockefeller. (http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_de_Palo_Alto)
(3) http://www.cnam.fr/servlet/com.univ.collaboratif.utils.LectureFichiergw?ID_FICHIER=1295877017757
(4) (Paul Villach, http://www.alterinfo.net/Grace-a-Paul-Watzlawick-une-approche-de-l-information-qu-on-ne-peut-plus-ignorer_a8150.html)
(5) http://www.chapitre.com/CHAPITRE/fr/BOOK/watzlawick-paul/la-realite-de-la-realite-confusion-desinformation-communication,263011.aspx
(7) http://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe
(8) L'éthologie est l'étude du comportement des diverses espèces animales. (http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89thologie)
(9) P.E.S. L'existence de telles perceptions est généralement rejetée par les scientifiques. Les études sur ces perceptions étant rarement conduites par des scientifiques jouissant d'une crédibilité suffisante ou d'une méthode rigoureuse, elles sont généralement catégorisées en pseudosciences. C'est pourquoi ce type de phénomène intéresse surtout des chercheurs en marge des circuits officiels du savoir tels les parapsychologues et les amateurs de phénomènes paranormaux. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Perception_extrasensorielle)
(10) (http://fr.wikipedia.org/wiki/Communication_non_verbale)
(11) La réalité de la réalité, Paul Watzlawick, éd. Éditions du Seuil, 1978, p. 13
(12) La réalité de la réalité, Paul Watzlawick, éd. Éditions du Seuil, 1978, p. 7
(13) Faites vous-mêmes votre malheur, Seuil (2009), p. 54
(14) Sic, en français et dans d'autres langues comme l'anglais, l'espagnol, l'italien ou le suédois, sic est utilisé pour montrer que l'on cite, telle quelle, une phrase dont les termes ou le sens peuvent paraître étranges ou surprendre le lecteur, que ce soit par son contenu lui-même ou pour indiquer que le dactylographe a noté une erreur mais qu’il l’a transcrite littéralement pour rester fidèle aux propos tenus.
(15) http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Trahison_des_images
* Rectification 22/09/13



(Paul Watzlawick, la réalité de la réalité : Confusion, désinformation, communication…, 1978, collection Points, 1984)

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